L’habitude d’avoir des pensées pessimistes est l’une des habitudes quotidiennes les plus destructrices que j’ai eue chez moi pendant longtemps et que je crois, être très courante chez bien des gens.
Qu’est-ce qui est pessimiste ?
C’est quand vous construisez un scénario cauchemardesque, selon lequel tout pourrait aller totalement mal dans une situation et imaginer une grande catastrophe dans votre esprit.
Vous avez peut-être une présentation demain et votre esprit commence à penser à un scénario dans lequel vous avez oublié vos notes à la maison, vous vous ridiculisez, vous êtes gêné devant toute la société et votre patron vous crie dessus pendant 20 minutes après la réunion.
Des choses effrayantes à coup sûr.
Comment ai-je appris à gérer ça ?
Permettez-moi de vous faire part des 7 mesures qui m’ont vraiment aidé.
1 : Dites haut et fort « stop » à votre critique intérieur.
L’état pessimiste qui a commencé à se répandre dans votre esprit vient de votre critique intérieur.
Il vous dit :
- Vous allez échouer parce que c’est ce que vous faites toujours.
- Ou bien que vous n’avez pas assez préparé.
- Ou encore que votre patron ne sera pas satisfait de votre présentation pour une raison ou une autre.
- Ou tout le reste.
Alors, arrêtez le critique intérieur rapidement.
Dans votre esprit, dès que ces pensées surgissent, criez :
- « NON ! »
Ou encore :
- « NON, nous ne nous engageons plus dans cette voie ! »
Cela va perturber ce train de pensées négatives et vous aider à commencer à vous sentir de nouveau de niveau.
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2 : Concentrez-vous sur votre respiration.
Après avoir perturbé votre pensée, restez immobile pendant une minute ou deux.
Asseyez-vous si vous le pouvez.
Concentrez-vous uniquement sur vos inspirations et vos inspirations.
Il n’y a Rien d’autre.
Cela calmera votre corps du stress et aidera votre esprit à penser plus clairement et de revenir à ce qui se passe en ce moment au lieu de se perdre dans de futurs de cauchemars.
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3: Recherchez la vérité dans le passé.
Repensez à votre passé.
Combien de fois dans le passé ces scénarios pessimistes que votre esprit vous envoie, sont devenues réalité ?
Jamais ou très peu de fois, j’imagine.
Cela a certainement été le cas pour moi.
Rappelez-vous donc les faits réels du passé pour vous calmer encore plus et vous ramener à la version la plus centrée de vous-même.
4: Parlez-en et demandez l’avis d’un ami sensé.
Dans bien des situations de ma vie, les trois premières étapes m’ont aidé pour sortir du scénario pessimiste et à réfléchir plus calmement et plus clairement.
Mais parfois, cette combinaison ne suffit pas.
Peut-être y a-t-il encore des pensées négatives et des tensions internes qui pourraient recommencer à faire boule de neige.
Si tel est le cas, une chose que j’aime faire est de laisser sortir les pensées pessimistes.
J’en parle avec un de mes proches.
Ce faisant, en me laissant simplement aller et laisser quelqu’un m’écouter quelques minutes, je peux souvent voir la situation telle qu’elle est vraiment.
Et alors je me calme.
Ou la personne qui m’écoute peut m’aider un peu plus au besoin et me prêter sa perspicacité.
Cela m’aide pour me replonger dans la réalité et m’a souvent aidé à plusieurs reprises pour trouver une solution ou un premier pas que je peux faire pour commencer à changer cette situation en quelque chose de meilleur si c’est nécessaire.
5: Arrêtez de faire une montagne d’une taupinière.
Une autre chose qui m’aide souvent est de me poser une question qui me permet de faire un zoom arrière et de voir si honnêtement, je suis en train de faire une montagne d’une taupinière (ou de rien du tout).
Alors, je me demande :
- Cela aura-t-il une incidence dans 5 ans?
- Ou même dans 5 semaines?
La réponse est presque toujours que ce ne sera pas.
Même si elle peut à première vue sembler de cette façon lorsque vous êtes, dans votre tête, stressé et anxieux.
6: Dites-vous «stop» quand vous savez que vous ne pouvez tout simplement pas penser correctement.
Quand j’ai faim ou que j’ai besoin d’aller me coucher et de dormir, je sais par expérience que je suis vulnérable aux pensées pessimistes.
Alors qu’est-ce que je fais?
Je me dis ceci :
- Non, non, non, nous n’allons pas y penser maintenant. Nous allons réfléchir à cette situation ou à ce défi plus tard, après avoir dormi ou manger.
Faire cette chose simple aide beaucoup.
Parce que quand je n’ai pas faim ou que je suis à nouveau bien reposé, alors le problème sur lequel je m’énervais sera le plus souvent minime voir inexistant lorsqu’il sera revu avec une pensée lucide.
Ou il sera au moins beaucoup plus facile de trouver une solution ou un plan pour améliorer les choses s’il y a un véritable défi auquel je dois faire face.
7: Réduisez les entrées hebdomadaires qui placent ces scénarios pessimistes au premier plan de votre esprit.
Les gens et les autres sources comme la télévision, les médias sociaux et divers sites Web ou forums ont une grande influence sur votre façon de penser.
Alors, soyez prudent sur ce que vous laissez entrer dans votre tête tous les jours et toutes les semaines.
Posez-vous la question suivante :
- Y a-t-il une personne ou une source dans ma vie qui renforce mes habitudes pessimistes?
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Des exemples de telles sources peuvent être une personne très pessimiste, des informations en ligne ou à la télévision qui décrivent souvent des scénarios catastrophiques, ou un site Web ou une plate-forme de média social qui, selon vous, nourrit votre esprit de négativité.
Quand vous avez trouvé quelque chose comme ça dans votre vie, demandez-vous :
- Que puis-je faire cette semaine pour passer moins ou pas de temps avec cette personne ou cette source?
Ensuite, prenez des mesures et consacrez le temps que vous avez maintenant libéré au cours de cette semaine à une ou quelques-unes des sources d’informations ou personnes les plus optimistes de votre vie.
Faites-le – dans les semaines ou les mois à venir – avec autant de sources d’informations que nécessaire pour créer, pièce par pièce, un environnement sain pour vous-même et pour vos pensées.